9 octobre 2023 06:56
Article Est Républicain du 06 octobre 2023
Sur la ligne de trolley et en ville, Lor’Espace, une entreprise locale, façonne les places et rues pavées :
Passages et cheminements piétons, rues et allées, places et quais de bus… Derrière certains travaux de la ligne de trolleybus et ceux de places emblématiques de la métropole, se cache Lor’Espace. Une entreprise locale, basée à Marbache, qui a du pain sur la planche actuellement.
En quelque sorte, tout le monde piétine leur travail mais ils seraient mal placés pour s’en plaindre : ces salariés de Lor’Espace, entreprise basée à Marbache, ont en effet pour mission de paver et daller une partie du sol nancéien. Et en ce moment, il y a de quoi faire.
Retenue au sein du groupement d’entreprises missionné pour l’aménagement de la ligne de trolley (hormis l’axe saint-Jean/Saint-Georges au centre-ville, objet d’un autre lot), la société dirigée par Thibault Giustiniani est notamment à l’œuvre, depuis août, sur le tracé de cette ligne 1 devant accueillir le trolley à la rentrée 2024.
« On a commencé par le carrefour du Vélodrome de Vandœuvre-lès-Nancy, et on descend vers l’avenue Jean-Jaurès ; on était aussi sur l’aménagement du pont d’Essey », détaille le patron, dont les hommes travaillent selon le cahier des charges, élaboré bien en amont par la Métropole. « On pose des pavés et dalles en béton ou pierre naturelle, essentiellement du granit ; cela dépend des endroits, du rendu souhaité et des caractéristiques techniques, notamment du trafic prévu. »
Des dalles podotactiles pour mal voyants
À eux de façonner, donc, les passages piétons, les quais et autres trottoirs au fil du tracé, selon l’esthétisme envisagé et les normes en vigueur. « Par exemple, à certains endroits précis, on pose des dalles podotactiles, conçues pour servir de repères aux personnes aveugles. Et maintenant, les revêtements doivent être drainants. » Ceci grâce aux joints, qui laissent l’eau s’infiltrer dans le sol.
« On a commencé par le carrefour du Vélodrome de Vandœuvre-lès-Nancy, et on descend vers l’avenue Jean-Jaurès ; on était aussi sur l’aménagement du pont d’Essey », détaille le patron, dont les hommes travaillent selon le cahier des charges, élaboré bien en amont par la Métropole. « On pose des pavés et dalles en béton ou pierre naturelle, essentiellement du granit ; cela dépend des endroits, du rendu souhaité et des caractéristiques techniques, notamment du trafic prévu. »
Des dalles podotactiles pour mal voyants
À eux de façonner, donc, les passages piétons, les quais et autres trottoirs au fil du tracé, selon l’esthétisme envisagé et les normes en vigueur. « Par exemple, à certains endroits précis, on pose des dalles podotactiles, conçues pour servir de repères aux personnes aveugles. Et maintenant, les revêtements doivent être drainants. » Ceci grâce aux joints, qui laissent l’eau s’infiltrer dans le sol.
« On a commencé par le carrefour du Vélodrome de Vandœuvre-lès-Nancy, et on descend vers l’avenue Jean-Jaurès ; on était aussi sur l’aménagement du pont d’Essey », détaille le patron, dont les hommes travaillent selon le cahier des charges, élaboré bien en amont par la Métropole. « On pose des pavés et dalles en béton ou pierre naturelle, essentiellement du granit ; cela dépend des endroits, du rendu souhaité et des caractéristiques techniques, notamment du trafic prévu. »
Des dalles podotactiles pour mal voyants
À eux de façonner, donc, les passages piétons, les quais et autres trottoirs au fil du tracé, selon l’esthétisme envisagé et les normes en vigueur. « Par exemple, à certains endroits précis, on pose des dalles podotactiles, conçues pour servir de repères aux personnes aveugles. Et maintenant, les revêtements doivent être drainants. » Ceci grâce aux joints, qui laissent l’eau s’infiltrer dans le sol.
Consacrant deux équipes (soit 7 ou 8 de ses 17 salariés) à ce chantier du trolley, Lor’Espace devrait monter en puissance en fin d’année, et envoyer « 4 ou 5 équipes sur la ligne ».
Mais côté travaux au sol, il n’y a pas que le trolley dans la vie du Grand Nancy ! Titulaire du marché (triennal) d’entretien de l’espace public sur la métropole, l’entreprise marbichonne veille aussi sur tous les autres pavés locaux, ou presque.
Des pavés porphyre en vieille ville
Car si l’aménagement du nouveau secteur piéton est confié à l’entreprise Colas, Lor’Espace est aussi actuellement à l’ouvrage sur la place Charles-III pour y des pavés abîmés.
Elle a également assuré cet été une rénovation rue de la Citadelle, en vieille-ville, et doit veiller, le cas échéant et sur commande, sur le sol calcaire de la place Stanislas et sur les ruelles du centre historique. Où il n’est pas toujours aisé de conserver toute la cohérence initiale.
« En vielle ville, pour les pavés porphyre (N.D.L.R. : type de roche magmatique aux tons souvent rouges), on ne trouve parfois plus les mêmes couleurs », souligne Thibault Giustinani, qui s’approvisionne généralement dans des carrières « des Vosges, ou du Tarn ou plus loin en Europe. » Et qui ne mise plus sur les dalles venues de Chine. « Les délais sont très longs et le coût du transport élevé. »
Passages et cheminements piétons, rues et allées, places et quais de bus… Derrière certains travaux de la ligne de trolleybus et ceux de places emblématiques de la métropole, se cache Lor’Espace. Une entreprise locale, basée à Marbache, qui a du pain sur la planche actuellement.
En quelque sorte, tout le monde piétine leur travail mais ils seraient mal placés pour s’en plaindre : ces salariés de Lor’Espace, entreprise basée à Marbache, ont en effet pour mission de paver et daller une partie du sol nancéien. Et en ce moment, il y a de quoi faire.
Retenue au sein du groupement d’entreprises missionné pour l’aménagement de la ligne de trolley (hormis l’axe saint-Jean/Saint-Georges au centre-ville, objet d’un autre lot), la société dirigée par Thibault Giustiniani est notamment à l’œuvre, depuis août, sur le tracé de cette ligne 1 devant accueillir le trolley à la rentrée 2024.
« On a commencé par le carrefour du Vélodrome de Vandœuvre-lès-Nancy, et on descend vers l’avenue Jean-Jaurès ; on était aussi sur l’aménagement du pont d’Essey », détaille le patron, dont les hommes travaillent selon le cahier des charges, élaboré bien en amont par la Métropole. « On pose des pavés et dalles en béton ou pierre naturelle, essentiellement du granit ; cela dépend des endroits, du rendu souhaité et des caractéristiques techniques, notamment du trafic prévu. »
Des dalles podotactiles pour mal voyants
À eux de façonner, donc, les passages piétons, les quais et autres trottoirs au fil du tracé, selon l’esthétisme envisagé et les normes en vigueur. « Par exemple, à certains endroits précis, on pose des dalles podotactiles, conçues pour servir de repères aux personnes aveugles. Et maintenant, les revêtements doivent être drainants. » Ceci grâce aux joints, qui laissent l’eau s’infiltrer dans le sol.
« On a commencé par le carrefour du Vélodrome de Vandœuvre-lès-Nancy, et on descend vers l’avenue Jean-Jaurès ; on était aussi sur l’aménagement du pont d’Essey », détaille le patron, dont les hommes travaillent selon le cahier des charges, élaboré bien en amont par la Métropole. « On pose des pavés et dalles en béton ou pierre naturelle, essentiellement du granit ; cela dépend des endroits, du rendu souhaité et des caractéristiques techniques, notamment du trafic prévu. »
Des dalles podotactiles pour mal voyants
À eux de façonner, donc, les passages piétons, les quais et autres trottoirs au fil du tracé, selon l’esthétisme envisagé et les normes en vigueur. « Par exemple, à certains endroits précis, on pose des dalles podotactiles, conçues pour servir de repères aux personnes aveugles. Et maintenant, les revêtements doivent être drainants. » Ceci grâce aux joints, qui laissent l’eau s’infiltrer dans le sol.
« On a commencé par le carrefour du Vélodrome de Vandœuvre-lès-Nancy, et on descend vers l’avenue Jean-Jaurès ; on était aussi sur l’aménagement du pont d’Essey », détaille le patron, dont les hommes travaillent selon le cahier des charges, élaboré bien en amont par la Métropole. « On pose des pavés et dalles en béton ou pierre naturelle, essentiellement du granit ; cela dépend des endroits, du rendu souhaité et des caractéristiques techniques, notamment du trafic prévu. »
Des dalles podotactiles pour mal voyants
À eux de façonner, donc, les passages piétons, les quais et autres trottoirs au fil du tracé, selon l’esthétisme envisagé et les normes en vigueur. « Par exemple, à certains endroits précis, on pose des dalles podotactiles, conçues pour servir de repères aux personnes aveugles. Et maintenant, les revêtements doivent être drainants. » Ceci grâce aux joints, qui laissent l’eau s’infiltrer dans le sol.
Consacrant deux équipes (soit 7 ou 8 de ses 17 salariés) à ce chantier du trolley, Lor’Espace devrait monter en puissance en fin d’année, et envoyer « 4 ou 5 équipes sur la ligne ».
Mais côté travaux au sol, il n’y a pas que le trolley dans la vie du Grand Nancy ! Titulaire du marché (triennal) d’entretien de l’espace public sur la métropole, l’entreprise marbichonne veille aussi sur tous les autres pavés locaux, ou presque.
Des pavés porphyre en vieille ville
Car si l’aménagement du nouveau secteur piéton est confié à l’entreprise Colas, Lor’Espace est aussi actuellement à l’ouvrage sur la place Charles-III pour y des pavés abîmés.
Elle a également assuré cet été une rénovation rue de la Citadelle, en vieille-ville, et doit veiller, le cas échéant et sur commande, sur le sol calcaire de la place Stanislas et sur les ruelles du centre historique. Où il n’est pas toujours aisé de conserver toute la cohérence initiale.
« En vielle ville, pour les pavés porphyre (N.D.L.R. : type de roche magmatique aux tons souvent rouges), on ne trouve parfois plus les mêmes couleurs », souligne Thibault Giustinani, qui s’approvisionne généralement dans des carrières « des Vosges, ou du Tarn ou plus loin en Europe. » Et qui ne mise plus sur les dalles venues de Chine. « Les délais sont très longs et le coût du transport élevé. »
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